Nos dernières opérations :

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Profil recherché : H/F, diplômé(e) d’études supérieures (Ecole de Commerce, DESS option Audit/Contrôle de gestion, etc.), le(la) candidat(e) possède une expérience d’au moins 5 ans dans des métiers similaires où il(elle) aura acquis de solides bases techniques et méthodologiques.

Notre offre :

CDI - Rémunération attractive avec intéressement

Le consultant confirmé aura notamment à :

-      analyser les secteurs d’activités,
-      réaliser des évaluations et analyses financières,
-      participer à des montages financiers.

Il interviendra sur des dossiers de cession, d’acquisition et de recherche de financement/levée de fonds en collaboration avec les associés du cabinet.

Les qualités nécessaires pour réussir dans ce poste sont :

-      la rigueur,
-      la ténacité,
-      l’esprit de synthèse,
-      l’autonomie,
-      l’esprit d’équipe,
-      la disponibilité,
-      les talents de négociation.

Si vous êtes intéressé(e), vous voudrez bien adresser votre candidature (CV, photo et lettre de motivation) par mail à Cet adresse mail est protégé contre les spambots. Vous avez d'activer le javascript pour la visualiser.

Etablir le diagnostic financier d’ une entreprise


Objectifs de la formation :

  • Connaître et utiliser les outils d’analyse financière et les principaux ratios
  • Lire et comprendre les documents financiers de l’entreprise : bilan, compte de résultat et annexe
  • Etablir un diagnostic financier et interpréter les principaux ratios,
  • Améliorer sa capacité de dialogue sur les comptes de l’entreprise avec les tiers internes ou externes : banquiers,investisseurs, fournisseurs, personnel.

Programme :


Comprendre l'information comptable et l'articulation des documents comptables :

  • L'articulation bilan/compte de résultat
  • Orocéder à l'analyse d'une activité
  • Les différents niveaux de charges et de produits
  • La création de richesses : valeur ajoutée ou marge brute
  • Le cash flow des opérations (rémunération des financements)
  • Le cash flow général (rémunération de l'actionnaire)
  • Les ratios de rentabilité et la création de valeur
  • L'approche par les flux


Evaluer la structure financière :

  • Le fonds de roulement net global, la trésorerie
  • Les capitaux propres, l'endettement, l'investissement
  • Les ratios de structure financière
  • Le BFR et les ratios de rotation


Elaborer le tableau de financement et le tableau des flux de trésorerie :

  • Les différents flux de trésorerie : activité, investissement, financement
  • L'analyse des flux (free cash flow)


Réaliser un diagnostic financier :

  • Les équilibres financiers
  • Les forces et faiblesses de l'entreprise

 

 

Tarif : 420 € HT

Horaires et lieu : De 9h00 à 17h00 à Paris 17ème

Public visé : Chefs d’entreprise, Repreneurs, Intermédiaires

Formateur : Patrick SOUSSANA, Expert-comptable, Conseil en transmission d’entreprise, Juge consulaire

 

Formation en partenariat avec Formation & Conseil : www.formation-conseil.com

« Déclaration d’activité enregistrée sous le numéro 11 75 46093 75 auprès du préfet de region d’Ile-de-France »

 

Pour plus de renseignements ou vous inscrire :
Contactez-nous au 01 56 62 77 74 ou par mail : Cet adresse mail est protégé contre les spambots. Vous avez d'activer le javascript pour la visualiser.

Edito


TRANSMETTRE, UN ENJEU VITAL !

« Préparer l’avenir ce n’est que fonder le présent. Il n’est jamais que du présent à mettre en ordre. À quoi bon discuter cet héritage.
L’avenir, tu n’as point à le prévoir mais à le permettre »
Antoine de Saint-Exupéry, dans « Citadelle » p 167

Selon le rapport remis au Ministre de l’économie et à sa Secrétaire d’Etat en charge du commerce, par la députée Fanny Dombre-Coste, 60.000 entreprises sont mises sur le marché alors que 85.000 pourraient être concernées, et 30.000 seulement sont cédées, tandis que 30.000 disparaissent.

C’est la raison pour laquelle les pouvoirs publics ont pris conscience que l’accompagnement et la simplification
pour la transmission des entreprises est un enjeu majeur pour la croissance et la compétitivité de notre économie, pour la
vitalité des territoires et pour la valorisation sociale de l’audace et de l’esprit d’entreprendre.

Nous savons que, parmi les points de blocage figurent :
• La rencontre « difficile » entre cédants et repreneurs ; nous nous y employons au quotidien,
• La complexité du processus de transmission
• L’accès au financement est aléatoire et complexe pour les repreneurs ; nous avons tissé un réseau pour faciliter cet accès et préparons en
amont des dossiers adéquats pour bien apprécier les besoins et la capacité de rembourser,
• La fiscalité qui peut décourager la cession ; nos spécialistes connaissent bien et sont capables d’optimiser le coût fiscal, surtout si le cédant
anticipe son projet en se faisant accompagner.

En matière fiscale, un des freins à l’acceptation d’un crédit vendeur est l’imposition immédiate de la plus-value réalise par le cédant
; ce frein est en voie de tomber par la généralisation, limitée pour l’instant aux cessions de fonds de commerce par des entreprises
individuelles, aux cessions de titres de sociétés, de l’imposition en fonction de l’encaissement et du différé d’imposition pour les
crédits accordés par les vendeurs. Au-delà de l’earn-out – le complément de prix – indexé à des résultats futurs, les modalités de
facilitation de la transmission sont en train de prendre forme, avec le concours d’un comité de pilotage constitué par Bercy, auquel
j’ai l’honneur de participer.

Nous ne saurons que le répéter encore et encore, pour réussir une transmission d’entreprise, il faut anticiper car, très souvent, deux
bonnes années sont nécessaires pour passer de la prise de décision à la cession ; d’autant que, souvent, l’organisation de l’entreprise
et/ou du patrimoine de son dirigeant doivent être aménagées pour optimiser la valeur de la cession et le produit net.

Notre vocation est de favoriser les transmissions dans les meilleures conditions ; n’hésitez pas à nous consulter, nous sommes à
votre écoute.

 

 

 

 

Jean-Luc SCEMAMA
Président

 


Sommaire :

1 - Impôts Apport en numéraire au capital des sociétés
2 - Fiscalité Imposition de la plus-value de cession
3 - Transmission : Freins à la transmission
4 - PATRIMOINE Le recours au créditvendeur
5 - DEALS Cessions T&C
6 - Matinale : 27 octobre : Croisssance externe

 

 

Pour plus de renseignements :


Contactez-nous au 01 56 62 77 74 ou par mail : Cet adresse mail est protégé contre les spambots. Vous avez d'activer le javascript pour la visualiser.

PATRIMOINE : l’assurance vie

Quoi de mieux pour le premier article patrimonial de cette newsletter que de s’intéresser au placement préféré des Français : l’assurance vie.

En effet, l’assurance vie représente un tiers de l’épargne des ménages français, soit plus de 1.5000 milliards d’euros. Le secret du succès est facile à comprendre, l’assurance vie répond à un grand nombre d’objectifs :

La diversification du patrimoine : En effet, un contrat d’assurance vie peut être investi sur des supports différents. En premier lieu, le fond euros. Ce dernier offre une très grande sécurité, de par sa garantie en capital, un taux minimum garanti annuel et une participation aux bénéfices de la compagnie d’assurance. De plus, le contrat peut être investi en unité de comptes (UC). Dans ce cas, contrairement au fond euros, leur valeur varie à la hausse ou à la baisse en fonction du marché sur lequel elles sont investies, l’assureur ne garantit que le nombre d’UC. Celles-ci peuvent être de natures totalement différente, financière en investissant sur des parts d’OPCVM, ou immobilières par le biais de SCPI.

La préparation de la retraite : L’assurance vie est considérée comme une épargne à long terme, sa fiscalité étant intéressante après huit ans de détention, ce qui en fait un outil indispensable pour préparer sa retraite. En effet, l’épargne constituée au long de la vie du contrat peut être sortie par des rachats occasionnels ou programmés, ou en rente viagère, dans ce cas la compagnie d’assurance versera une rente programmée en fonction de l’espérance de vie du bénéficiaire en contrepartie de l’aliénation du capital. De plus, contrairement à beaucoup de produits spécifiquement prévus pour la retraite, l’épargne reste disponible à tout moment.

Optimiser la fiscalité des rachats : L’assurance vie bénéficie d’une fiscalité sur les rachats de plus en plus intéressants en fonction de la durée de détention :

  • Avant 4 ans : Imposition à l’IR ou option pour le Prélèvement forfaitaire libératoire (PFL) au taux de 35% +Prélèvements sociaux (PS) au taux 15,5%
    Entre 4 et 8 ans : Imposition à l’IR ou option pour le PFL au taux de 15% + PS au taux  15,5%
  • Après 8 ans : Abattement annuel de 4.600€ (9.200€ pour un couple) au-delà imposition l’IR ou sur option PFL au taux de 7,5% + PS au taux de 15,5%.

Préparer la transmission du patrimoine : les contrats d’assurance vie sont considérés comme des actifs hors successions. De plus, elle relève d’une fiscalité propre sur les sommes versées aux bénéficiaires après le décès du souscripteur. Les capitaux versés avant 70 ans sont taxés de façon forfaitaire après un abattement de 152.500€ par bénéficiaire à hauteur de 20% sur les 700.000€ suivants et au-delà à 31,25%. Pour les versements effectués après 70 ans, la taxation se fait en fonction du lien de parenté, après un abattement unique de 30.500€. Dans tous les cas le conjoint est exonéré de tout droit.


L’assurance vie est donc un outil indispensable pour se constituer une épargne tout au long de sa vie, faire face à des imprévus, transmettre un patrimoine, voire même réinvestir le produit de la cession de son entreprise.

Jonathan SOUSSANA
Conseil en Transmission